mercredi 29 mai 2013

Invitations de mariage raffinées de Woodland Papercuts

Whoooo ! Voici de magnifiques invitations de mariage très élégantes et délicates signées Naomi Shiek, une vraie artiste du papier... je suis fan !

Très inspirée par la nature, Naomi part de ça :


Puis, elle reproduit chaque détail dans des découpes de papier minutieuses :



Ce qui donne... :





Découvrez le chouette blog de Naomi qui parle beaucoup de mariage et d'invitations mais aussi de déco, d'art... Quant à la boutique de Woodland Papercuts, c'est juste ICI !

Théière insolite signée Dammann

Carrée, en fonte noire, avec deux becs verseurs, la théière "Samouraï" de Dammann est vraiment élégante. Parfaite pour éblouir des invités au goûter !


lundi 27 mai 2013

Moi en couple, jamais je...


On en a des principes sur ce que l'on fera au non lorsqu'on sera en couple. Dans les dîners, en famille, devant les amis, au bureau, on n'a pas honte de clamer haut et fort avec une assurance absolue : "Moi, en couple, jamais je..." et là, on peut compléter à foison : ne resterai à la maison un samedi soir/ne m'engueulerai pour l'aménagement de l'appart, encore moins en public chez Ikea/ne lui dirai "non pas ce soir, j'ai mal à la tête"/ne zapperai une soirée avec mes amis pour lui/ne lui donnerai un petit nom ridicule, ah non, JA-MAIS !

Ah oui, vraiment ? Arrêtons-nous deux minutes sur ces quelques principes...

1. Moi en couple, jamais je ne resterai à la maison un samedi soir

Bah oui, il y a tellement de choses à faire. Un bon resto, un verre en terrasse, une balade sur les quais à Paris, un ciné-main-sur-le-genou, la nuit blanche/des musées/du cinéma/des monuments historiques/des morts-vivants... Bref, on veut montrer au monde qu'on s'aime et quoi de mieux que le samedi soir. Et puis, au bout de quelques années, boum, on se retrouve à live-tweeter The Voice, tous les deux (ou plus, si le couple a décidé de fructifier) sur le canapé, une bière et du japonais sur la table basse. Et le pire, c'est qu'on trouve ça pas si mal !

2. Moi en couple, jamais je ne m'engueulerai pour l'aménagement de l'appart, encore moins en public chez Ikea

Car oui, on en a vu des couples se maudirent haut et fort devant la foule du dimanche après-midi parce que Monsieur voulait le grand fauteuil en cuir noir pour le bureau alors que Madame préférait le fauteuil design en tissu orange, tout doux. Et devant notre assiette de boulettes suédoises, on en a bien rigolé. "Jamais on ne sera comme ça, je te le promets". Mais quand vient notre tour d'aller aménager notre nid douillet et qu'il insiste lourdement pour prendre cet énorme meuble télé qui envahira tout un mur de notre salon alors qu'on rêve "juste" d'un mini-meuble pour la télé et d'une maxi bibliothèque pour tous nos livres, à notre tour de nous maudire haut et fort et de n'avoir qu'une envie : coller à l'autre un maximum de boulettes suédoises... tout au fond de la gorge.

3. Moi en couple, jamais je ne lui dirai "non chéri, pas ce soir, j'ai mal à la tête"

Nulle cette phrase ! Mais on peut en revanche user des : "Oh, j'ai eu une journée de dingue au bureau, je suis crevée, tiens, je vais dormir un peu" ou "Ne t'inquiète pas, je me repose 10 minutes et ensuite, je serai au top (disons demain matin !)" ou encore "Oh chéri, tu sais, je crois que je couve quelque chose et ça m'a l'air bien contagieux, fais attention, tu as une super réunion demain au boulot". Et bien oui, difficile de dire "Non" tout de go mais avouons qu'on en aurait bien envie car il y a des soirs où l'on ne rêve que d'une chose : rentrer à la maison, grignoter ce qui nous tombe sous la main, finir avec une bonne glace dans le lit devant une télé-réalité un peu pourrie mais qui nous aérera bien l'esprit puis un bon gros bouquin de filles pour enfin rejoindre Morphée.

4. Moi en couple, jamais je ne zapperai une soirée avec mes amis pour lui

Sauf que voilà, quand ce sont les débuts, soyons honnêtes, on passe sa vie dans le lit pour tout (l'amour) et n'importe quoi (manger/boire/faire des tartes aux pommes*...) et qu'une soirée entre amis signifie s'extirper douloureusement de sa couette pour... s'habiller (!) et se séparer de son chéri d'amour. Ce qui nous amène au dernier point...

5. Moi en couple, jamais je ne lui donnerai un petit nom ridicule

Ma moitié, mon poussin, mon chéri-bibi, amuuuur, ma caille (variante du bien trop viril "ma couille"), mon sucre, ma bichette... Non, non, non, jamais on ne se donnera un petit nom ridicule et surtout pas en public. Sauf que voilà, un jour, on fait la queue à carrouf (ah oui, jamais, ô grand jamais, je n'irai dans un hypermarché un samedi après-midi avec lui, jamais, jamais, JAMAIS) quand soudain, on s'entend dire : " c'est toi qui as la carte, chatoune " ?

Bref, tout ça pour dire que les principes et l'emploi du futur autoritaire ont la vie dure. Enfin, surtout... avant. Attendez, on m'appelle... Comment mon chat ? Ah non, pas ce soir, j'écris un article pour le blog.



* vécu !


Illustration : Deepfriedfreckles via Society6

Des tapis "réveille-déco"

Maisons du monde propose de nombreux tapis pour la maison dont certains ont des couleurs qui réveilleraient n'importe quelle déco !


1. Tapis bayadère Agadir
2. Tapis Sanskrit
3. Tapis bayadère Hacienda
4. Tapis Tetouan

jeudi 16 mai 2013

Mini cherche et trouve


Les "Mini cherche et trouve" sont des petits imagiers très drôles et ludiques qui, à la différence des imagiers classiques, proposent d'abord les images avec les mots associés juste en dessous mais aussi de grandes planches très colorées et très gaies mettant en scène ces petits mots. Chaque livre propose une thématique particulière : la maison, le zoo, la route des vacances, les saisons, etc.

J'adore les dessins de Thierry Laval qui ont un trait bien reconnaissable et un petit côté seventies tout en étant très modernes. Avec mon nain-cobaye à l'appui, ça fonctionne !





Merci donc aux éditions Seuil Jeunesse d'avoir publié ces mini cherche et trouve : super format, super illustrateur et super calme dans la maison ! :-)

"Mini cherche et trouve dans la maison" de Thierry Laval aux éditions du Seuil Jeunesse

samedi 11 mai 2013

Deux bébés, c'est la frite !


De retour sur le blog (ça me manquait...) et quel retour avec deux bébés à la maison, le grand et le nouveau ! Whouuu... Comme je le prévoyais (un peu), très sportif le rythme. Et finalement, même si l'on pense avoir déjà vécu une grossesse, l'arrivée d'un bébé, le changement, bref qu'on n'est pas novice et qu'on maîtrise tout de même un peu, ce n'est pas si simple que ça.

Déjà, la fatigue. Alors qu'avec une première grossesse, il n'y a que soi à gérer, avec une deuxième, c'est un peu différent. Il faut courir un peu partout (la nounou, les courses, la maternité...), planifier l'organisation de la maison avant l'arrivée du deuxième et après, l'aménagement de la maison, l'inscription en crèche pour une place qu'on ne décrochera jamais, etc.

Et puis, il y a l'aîné. Qu'on adore, que l'on chérit éperdument mais qui ne comprend pas le ventre qui grossit et qui, alors qu'il commence à peine à s'y habituer, comprend encore moins qu'une chose, LA chose, en soit sortie (bah oui, ça sort... du ventre, c'est comme ça, OK ?). Et là, il faut apprendre à gérer les deux. Gérer, oui. Car aimer, y a pas de souci. Mais il faut gérer l'arrivée de ce nouveau bébé, son sommeil, ses bibs ou tétées, ses pleurs, alors qu'on commençait à avoir un rythme de croisière bien sympa avec le premier. Et il faut gérer le grand, ses besoins vitaux (bon, ça, on gère bien, on est au top pour le caca-pipi-miam)*, ses envies de câlins, son rythme (et sa vie) bousculé... Et là, bam, qu'est ce qu'elle se prend en pleine figure la mère (enfin, moi, du coup) : la CUL-PA-BI-LI-TE ! L'impression de laisser son aîné de côté alors qu'un nouveau bébé pointe son nez. C'est désagréable, on veut se couper en deux et comme on ne dort plus (que ce soit à cause du gros ventre de fin de grossesse ou de l'allaitement/biberons de nuit), on est crevé et on ne supporte plus rien mais alors, plus rien ("quoi chéri, tu veux m'aider ? Non mais arrête de me parler, t'es fou ou quoi.. tu vois pas que je suis crevée et qu'est-ce qu'il veut là, lui ? Il veut m'a-i-d-e-r ? Mais j’hallucine ou quoi !?"). Et bam, culpabilité puissance 1000.

Bon, tout ça pour dire que des mots sympas, gentils, réconfortants et qui mettent un high kick à ta culpabilité, ça existe. Quelques mots tout simples qui m'ont remonté le moral (souvent, c'est très con, mais pour moi, c'était très bon !) :
"Imagine-toi petite et enfant unique (ce qui était mon cas), tu te retrouves d'un coup avec un bébé qui  pique tes parents, les câlins de ta mère, ta chambre, tes fringues de 1 mois (han !), toussa toussa. Bah, tu serais quand même un peu vénère, non ?" Bah ouais !
"Prends du temps avec le premier même si tu allaites, prends une heure. Tu vas à la boulangerie en tête à tête avec lui". (bon, le coup de la boulange, ça m'a bien fait rigoler !)
"Maman, t'es mon chéri d'amour" (l'aîné, sur le chemin de la boulangerie, comme quoi !)
"Ça dure deux/trois mois mais après, tu verras, c'est que du bonheur."  Bon, ça, OK, c'est vraiment con et ça me fait penser à ça !

 Sur ces bonnes paroles, je dois filer : le petit hurle pendant que le grand tape sur les murs et que le maxi me demande où sont ces P... de couches B... de M... ! QUE DU BONHEUR !

* Toutes mes plus sincères excuses aux non-parents. On oublie le caca et on continue à lire ce blog, merci !


Illustration : Family Portrait de Brock Davis
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